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Les fondements

Créé en 2019 « Allier Forêt Bien être » est l’aboutissement d’un parcours professionnel et personnel aux multiples facettes. L’accompagnement proposé est fondé sur les connaissances, l’expérience et une consultation régulière des publications scientifiques concernant les effets des forêts et des arbres sur la santé et le bien - être des humains. Il s’inspire de l’enseignement du forestier français Georges Plaisance (1910 -1998) côtoyé en de nombreuses occasions dans les forêts de l’Allier et auteur du guide pratique de sylvothérapie  publié en 1985.

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Une synthèse des publications scientifiques sur le thème forêt nature et bien être.

I - Ce qui est scientifiquement prouvé, et dont la qualité élevée justifie d’avoir confiance en la véracité de l’effet estimé.

 

Bien-être

- L’activité d’extérieur, à la lumière naturelle diurne, augmente l’expression et la production de la béta-endorphine, un opioïde endogène qui améliore le bien-être par son effet antalgique et relaxant.

- Une exposition aux espaces  verts (dont les forêts)  améliore le bien être affectif, diminue de manière significative  le niveau de stress, l’anxiété et les risques de dépression

 

Système immunitaire

- L’exposition à des rayons ultraviolets active les macrophages, les enzymes, et différentes protéines qui participent  à la production de corticol modérateur du système immunitaire.

- Une plus grande exposition au soleil de la peau améliore le taux de vitamine D dans l’organisme. Cette vitamine  à de nombreux effets sur le cerveau, le sein, la prostate le colon, l’épiderme. Elle agit sur les mécanismes qui commandent de nombreux processus métaboliques, notamment  la réparation de l’ADN, l’activité antioxydante et la régulation de la prolifération et différenciation cellulaire. Il existe une association forêt-santé entre une plus grande quantité de vitamine D et une moindre incidence des infections par le virus de la grippe, des infections virales aigües et des crises d’asthmes.

 

Maladie cardiovasculaire

- La diminution de la sédentarité et l’activité physique en plein air diminue l’obésité, les pathologies cardiovasculaires, le diabète, le cancer.

- L’exposition aux rayons UVB provoque la libération de monoxyde de carbone ainsi que  la substance P et le peptide relié au gène calcitonine synthétisé dans l’épiderme ont un effet vasodilatateur qui réduit la mortalité cardiovasculaire

 

La signature chimique des peuplements

C’est-à-dire les bienfaits des composés organiques volatils d’origine biogénique ou phytoncides : antiseptique, antiviraux, stimulant immunitaire, anti-inflammatoire, antalgique, analgésique. La libération optimale de ces composés volatils se situe de mai à septembre voir d’avril à octobre  et elle est très liée à la température pour les Monoterpènes : hêtre, sapin. Pour les Isoprène : leur libération est liée à l’intensité lumineuse et à la température et le feuillage doit avoir atteint sa maturité (été) : chênes sessile, pédonculé

 

II - Ce qui est observé mais demande des approfondissements scientifiques :

 

Effets régénérant des biomolécules sur la santé et le bien être

Biosphère, électromagnétisme, énergie, fréquence vibratoire, champs générateurs en  interaction avec l’humain

Biblio
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Bibliographie

Sur la sylvothérapie :

  • Lire le dossier très complet paru dans le numéro spécial forêts et santé publique de la Revue Forestière Française LXX 2-3-4 2018 AgroParisTech. 2018 445 pages. Consultable sur internet

  • Les articles du docteur Qing li de l’université  de Médecine Japonaise de Tokyo, fondateur de la société japonaise de sylvothérapie et son ouvrage très documenté et illustré : Shinrin Yoku L’art et la science du bain de forêt  Editions First 300 pages

  • Plus ancien l’ouvrage du forestier français « père » et promoteur de la sylvothérapie en France Georges Plaisance Forêt et santé guide pratique de sylvothérapie. Editions Dangles 1985. Consultable à la bibliothèque nationale

 

Sur l’histoire forestière du Bourbonnais :

  • La réformation des forêts royales du Bourbonnais au XVIIe siècle. Nebout Jean Paul. Juin 2011. Bulletin de la Société  d’Emulation du Bourbonnais. Pages 366 à 394.

  • L’œuvre de l’administration forestière en Bourbonnais (1830 à 1945). Nebout Jean Paul. Juin 2012. Bulletin de la Société d’Emulation du Bourbonnais. Pages 76 à 105.

  • Forêt de Civrais : Deux siècles d’aménagement forestier en futaie régulière de chêne rouvre. Nebout Jean Paul. Juin 2012. Bulletin de la Société d’Emulation du Bourbonnais. Pages 106 à 116.

Ouvrages de référence sur les chênaies :

  • Le Chêne, Ecologie économie, histoire, sylviculture. Bary-Lenger A, Nebout Jean Paul, 504 pages. Editions du Perron, 1993 (plusieurs rééditions). www.perron.be

  • Evaluation financière des arbres d’agrément et de production en ville à la campagne, en forêt. Bary-Lenger A, Nebout Jean Paul. 448 pages. Editions TEC et DOC 2002. www.editions.lavoisier.fr

  • Culture des chênaies irrégulières dans les forêts et les parcs. Bary-Lenger Anne, Jean Paul Nebout. 356 pages. Editions Du Perron 2003. www.perron.be

Sur l’énergie des arbres :

  • La thérapie secrète des arbres. Les bienfaits de l’énergie de la nature sur notre santé physique et mentale. 237 pages. Marco Mengali et Marco Neri. Editions Ideo 2018. Ouvrage qui présente une synthèse très complète sur les bienfaits de l’énergie de la nature sur notre santé, facile à lire et bien documenté, avec plus de 150 références bibliographiques en italien  et en anglais. Un état des lieux des connaissances réalisé par un chercheur en biologie et un ingénieur agronome. A noter que cet ouvrage est actuellement disponible uniquement  au format numérique dans la plupart des librairies en ligne.

  • L’intelligence des plantes. 232 pages. Stéfano Mancuso et Alessandra Viola. Editions Albin Michel. 2018.

 

Consulter également les travaux de :

  • Bruno Moulias, chercheur, directeur de recherche à l’Inra (UMR Piaf) de Clermont Ferrand(France) : physiologie et croissance des arbres…

  • Stéfano Mancuso, phytobiologiste, professeur de botanique, à l’université de Florence (Italie) sur la faculté sensorielle des plantes,

  • Francis Martin chercheur, directeur du laboratoire d’excellence Arbre de l’Inra de Nancy (France), sur l’alliance racines /champignons

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